vendredi 7 mai 2010

MARÉE NOIRE : C'EST LA CATASTROPHE!














BRAVO BP = BIG POLLUEUR
PETITE MALADRESSE = GROS DÉGÂT
Quel beau gâchis!
Le golfe du Mexique sera contaminée pour les 20 prochaines années!!!

L’industrie pétrolière est vraiment sans scrupule!
La pétrolière BP est rien de moins qu’un monstre!
BP empoisonne l’air qu’on respire
BP opère des forages et meurtrit la Terre
L’industrie pétrolière mutile les sols de notre planète
L’industrie pétrolière est la raison des 1ère et 2ème guerres
L’industrie pétrolière met tout sans dessus dessous
L’industrie pétrolière et l’industrie automobile vont de pair!
L’automobile est le boulet de l’esclave
L’esclave va au boulot pour se payer une voiture car il faut une voiture pour se rendre au boulot
L’industrie automobile sert à rendre l’esclave complice de l’empoisonnement de l’humanité
Et de son propre empoisonnement…
L’industrie automobile c’est aussi des tonnes et des tonnes de détritus qui s’accumulent démesurément
Plusieurs autres industries d’importance sont des alliés rattachés aux industries de l’automobile et du pétrole…
Mis ensemble, toutes ces industries, de l’ère dite « de l’industrialisation »; sont des partenaires dans cette mise en place d’une société d’exploitation, de consommation, et d’insouciance…
Plus on consomme, plus le pétrole se consume
Et en somme : nous sommes les combustibles
Ce n’est pas suffisant qu’ils nous empoisonnent notre air.
Il faut en plus qu’ils causent des marées noires catastrophiques menaçant plusieurs espèces animales…
L’industrie pétrolière, met l’humanité en péril !

Le dégât de BP est significatif…
La soif d’exploiter les ressources de notre planète meurtrie...

Texte : Mr. Zêdka
















L’INDUSTRIE PÉTROLIÈRE

La marée noire , émanant de la plate-forme pétrolière qui a sombré le 22 avril, a frappé cette nuit le littoral américain.
L'extrémité de la gigantesque nappe d'hydrocarbures a atteint pendant la nuit le delta du Mississippi et les côtes de Louisiane, berceau d'un écosystème fragile où vivent de nombreux oiseaux aquatiques.
Avec 800.000 litres de pétrole s'échappant chaque jour de la plate-forme, la catastrophe pourrait dépasser en ampleur celle de l'Exxon Valdez, qui était jusqu’ici, la pire de l'histoire américaine.
Le pétrolier, qui s'était échoué en 1989 sur les côtes de l'Alaska, avait déversé plus de 40 millions de litres de pétrole sur une distance de 1.300 km. (voir l’article à ce sujet plus bas).

Voici ce que nous annonce le Figaro du Vendredi 30 avril 2010, dans un article de Marion Brunet :

« Vendredi, le 30 avril, la Floride a déclaré à son tour l'état d'urgence, comme l'avait fait la Louisiane la veille.
À l'échelle fédérale, la marée noire a aussi été décrétée jeudi «catastrophe nationale».
Ce dispositif doit permettre d'utiliser des moyens supplémentaires, notamment de dépollution, venant de tout le pays. Le secrétaire américain à la Défense Robert Gates a donné l'ordre à deux avions de transport militaires C-130 de commencer à répandre des produits chimiques censés aider à disperser la nappe.
Chaque appareil peut couvrir une surface d'un kilomètre carré par vol et pourrait accomplir jusqu'à trois missions par jour.
L'administration américaine a aussi prévenu qu'elle n'autorisera pas de nouveaux forages pétroliers en mer tant que n'auront pas été établies les causes de l'explosion de la plate-forme, a annoncé vendredi David Axelrod, proche conseiller du président Barack Obama.
Ce dernier avait troublé nombre de ses partisans et les écologistes en annonçant en mars la fin d'un moratoire sur l'exploitation pétrolière en mer, dans l'espoir de rallier des soutiens à une loi de réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Article tiré du Figaro;Vendredi 30 avril 2010
















Bravo !

Il semble qu’on ne soupçonne pas encore toute l’ampleur des désastres irréparables que l’industrie pétrolière cause! Elle exploite cette ressource de manière inconsciente, insouciante; de manière ignoble…
On doit à l’industrie pétrolière et automobile la majeur part des problèmes écologiques et des menaces qui pèsent sur l’humanité!
L’appétit vorace de la monstrueuse industrie pétrolière semble insatiable!
Il faut le dire… Les enjeux concernant le pétrole sont colossaux!
Mais aussi : On doit à ces enjeux les deux premières guerres mondiales…
D’ici peu on lui en devra une troisième!
Et en bonus on lui devra aussi; un nouvel ordre mondial totalitaire!
Recueillis par Œil-de-Lynx; pour les Agents Sans Secret















QUE FAIRE ?

Maintenant c’est l’enfer ! 5.000 barils de pétrole s'écoulent par jour dans les eaux du Golfe du Mexique !
Cinq mille barils de pétrole par jour, soit cinq fois plus qu'initialement estimé, s'écoulent dans les eaux du golfe du Mexique, où cette plateforme pétrolière à sombré, ce 22 avril 2010
Ce mercredi, les garde-côtes ont annoncé la découverte d'une fuite supplémentaire…
En vérité, il semble que la brèche sera difficile à colmater
Sans vouloir être pessimiste… On ose pas dire à quel point la situation va mal…
Michael Abdenhoff, un porte-parole de BP - qui exploitait la dite plateforme d’extraction - a reconnu l'existence d'une nouvelle fuite, mais a contesté le volume de pétrole qui s'en échappe. « Il y a une légère divergence d'opinion », a-t-il souligné à l'AFP.
« Nous avons trouvé une nouvelle fuite. Elle est en amont des deux fuites déjà présentes. Nous pensons que le volume (de pétrole) qui s'échappe reste inchangé ».
Les tentatives de BP pour colmater les fuites avaient échoué mardi… BP mis surtout beaucoup d’énergie à désinformer le public.















AIDE D’URGENCE

Peu après cette annonce, le gouverneur de Louisiane a indiqué avoir demandé une aide d'urgence pour protéger les fragiles côtes de l'État, où se trouve une zone protégée, qui pourraient être touchées dès jeudi par une importante nappe d'hydrocarbures échappée de la plate-forme.

Bobby Jindal, a aussi sollicité des moyens supplémentaires de la part du ministère de la Sécurité intérieure « après des informations selon lesquelles une partie de la nappe (...) s'apprête désormais à toucher les côtes de Louisiane plus tôt que prévu initialement ».
« Notre priorité absolue est de protéger nos citoyens et l'environnement. Ces moyens sont primordiaux pour atténuer l'impact de la marée noire sur nos côtes», a-t-il ajouté dans un communiqué…

Les marais côtiers de la Louisiane constituent un sanctuaire pour la faune, en particulier les oiseaux aquatiques, et les autres Etats américains de la région, la Floride, l'Alabama et le Mississippi notamment, craignent que la nappe de pétrole ne souille dès ce week-end leurs plages et ne pollue les pêcheries, cruciales pour l'économie locale.
Des équipes d'intervention ont enflammé mercredi une portion de la vaste nappe de pétrole flottant dans le golfe du Mexique pour tenter de stopper sa progression vers les côtes de Louisiane….















LA BP SE CHARGE DE STOPPER LA MARÉE ET DE RÉPARRER LES DOMMAGES
La BP (British Petroleum) pousse le cynisme à l’écœurement

La BP a proposé aux pêcheurs locaux de travailler pour elle et de participer au nettoyage de la nappe de pétrole gigantesque qui s’annonce sur les côtes américaines.

Bon, pourquoi pas, les pêcheurs sont partants, c’est leur Bayou. L’attachement à leur pays est profond. Ici on est pêcheur de père en fils. Ils veulent sauver les côtes du Golf, et puis, le chômage va être là, très vite. Dans ce pays, ne pas travailler c’est la « mort » sociale. Quand les dettes s’accumulent, pas de système de protection sociale ou même d’indemnités chômage décentes. Il faut travailler.
Mais le scandale vient d’une décision de la BP qui aurait imposé aux pêcheurs en échange de cette offre de signer une sorte de « décharge » dans laquelle ils s’engagent à ne pas entamer de poursuites judiciaires ultérieurement contre la BP, ses filiales, ses agences, ses directeurs, son personnel et employés réguliers, ses sous-traitants…. Un comble, non ? Quels sont ces juristes et/ou avocats tordus qui ont osé ? Jusqu’où peut aller le cynisme ! Non seulement ces pêcheurs perdent la nature qui les fait vivre mais, en plus, on leur nie le droit à des "aides", "compensations", bref, ce qui est juste dû !
Certains pêcheurs ont déjà signé, par peur de ne plus avoir de rentrées d’argent mais aussi parce qu’ils n’ont pas compris l’enjeu de ce document : l’exemple de ce pêcheur qui a commencé à pêcher à l’âge de 8/9 ans… que sait-il faire d’autre ? Certains d’entre eux savent à peine lire et écrire.
Les côtes de Louisiane, Mississipi, Alabama et Floride seront souillées, la plateforme qui a coulée était à 72km des côtes seulement. La nappe de pollution aurait la taille de la ville de Londres environ ! et la météo est mauvaise, ce qui empêche les bateaux d’aller en mer pour poser les dérisoires barrages qui doivent retenir la nappe…
Enfin… Qui se rappelle que 11 employés sur la plateforme ont trouvé la mort dans la catastrophe ?
C’est comme si les vies humaines n’avaient plus beaucoup de valeur !
Enfin, on ne sait pas bien où sont les valeurs de la BP non plus !
Gâchis, scandale…

Entre autres d’après l’article : “BP voids fishermen’s clean-up contracts in La. (Louisiana), cite legal mix-up” (The PalmBeach Post, Sunday, May 2, 2010)

En savoir plus sur l’article référence : http://www.palmbeachpost.com/news/b...
En savoir plus sur la BP : http://fr.wikipedia.org/wiki/BP_(en...)

Source : Oulala.net
http://www.oulala.net/Portail/spip.php?article4552


LE BEL EXEMPLE DE « SHELL »
Il est plus facile (et payant) de donner le mauvais exemple

Voilà une autre bonne nouvelle!
Le géant pétrolier Shell a décidé de ne plus investir dans les énergies renouvelables!
D'après la compagnie, ces projets deviennent "de plus en plus coûteux" et ne rapportent pas grand chose.
L'année passée, Shell a engrangé des bénéfices de 26,5 milliards de dollars (rien que ça!)
Et entre-temps, la direction s'est accordé une belle augmentation : le PDG Jeroen Van der Veer a gagné l'année dernière la modique somme de 8,8 millions d'Euros, à peine 72% de plus que l'année précédente (il gagnait alors 5,1 millions d'Euros).
Les autres administrateurs ont reçu une augmentation salariale d'environ 5%. (y faut ce qui faut!)
Cette décision de mettre un terme aux investissements dans les énergies vertes est plutôt étonnante…
Ces dernières années, Shell essayait de se profiler comme une compagnie qui investit dans l'avenir et celui de la planète, et y avait mis beaucoup d’espoir.
Mais, voilà que Shell change subitement son fusil d’épaule et il y a quelques jours Jeroen van der Veer annonçait officiellement au cours d'une réunion stratégique à Londres, cette nouvelle décision déconcertante du géant pétrolier…
Plus question d’être vert! Le virage au vert n’est plus tendance!
Donc revirement soudain et inattendue de la part de la firme Shell!

Évidemment, et avec raison, l’idée saugrenue de remiser ses projets d'énergie renouvelable pour des raisons économiques vaut à Shell beaucoup de critiques…
Réponse de Shell: nous ne sommes pas une oeuvre de charité. (rien de moins)

Autrement dit, il est grand temps de boycotter l'enseigne au coquillage...

P.S. : Espérons que l’idée ignoble de Shell de se retirer de ses projets d'énergie renouvelable ne donnera pas de mauvaises idées du même genre aux autres compagnies qui avec peine, font des efforts afin d’être plus écologique.

















RAPPEL SUR LA CATASTROPHE D’ALASKA
EXXON VALDEZ : La marée Noire a Laissé de grave séquelles
D’après un article de François Cardinal parut dans : « La Presse »
OTTAWA, Canada ; 24 mars 2009

Il y a 20 ans aujourd'hui, le monde était témoin de l'un des plus importants désastres environnementaux de son histoire. Le désormais célèbre Exxon Valdez vomissait alors 40 millions de litres de pétrole brut dans les eaux glacées du golfe de l'Alaska.

Les années ont passé, les poissons ont frayé, des armées de travailleurs ont besogné et pourtant, encore aujourd'hui, le pétrole hypothèque toujours lourdement le fragile écosystème du détroit du Prince William.
L'absence d'un plan d'urgence doublée d'une forte houle, quelques jours après la terrible marée noire, a en effet transporté le brut sur des centaines et des centaines de kilomètres de côte, souillant plages, rochers, îlots et échancrures sur son passage.
«Vous avez de la chance, lançait le porte-parole d'Exxon aux citoyens consternés, quelques jours après l'accident. Vous avez affaire à Exxon, et Exxon agit correctement.»
Quelque 10 000 travailleurs ont beau avoir été mobilisés pour nettoyer les berges depuis, quelque 98 000 litres de pétrole sont toujours présents dans l'environnement, selon la plus récente analyse du National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA).
«C'est bien peu considérant les quantités déversées, souligne le bras scientifique du gouvernement américain. Par contre, on retrouve encore des vestiges huileux de l'échouement sur certaines plages. Et certains endroits sont encore suffisamment contaminés pour inquiéter les résidants et les responsables de la restauration des lieux.»
Le problème, ajoute-t-on, c'est que les hydrocarbures bien enfouis dans les sédiments disparaissent à très petite vitesse: à peine 4% sont éliminés annuellement. Ce qui signifie qu'il faudra encore de nombreuses décennies avant que le tout ne retourne à un semblant de normalité.

HERITAGE

Cela dit, l'impact le plus important de l'échouement de l'Exxon Valdez est à la fois plus insidieux et plus grave, constate-t-on en visionnant le documentaire québécois Marée noire: l'héritage de l'Exxon Valdez, qui sera diffusé ce soir à 20h, sur RDI.
On y suit une communauté qui, en une nuit, a vu sa principale ressource disparaître d'un coup. Si le public a été secoué par ces images d'oiseaux englués, les citoyens de Cordova, principale municipalité touchée par le naufrage, ont été encore plus durement frappés par l'effondrement de la pêche, leur principale industrie.
Le documentaire de Robert Cornellier et Paul Carvalho s'attarde, par exemple, à l'histoire de Sam et Linden O'Toole, qui montre bien l'impact qu'a eu le naufrage sur le quotidien des gens. Ayant travaillé fort pour obtenir, en février 1989, un permis et un bateau qui leur permettraient de pratiquer la pêche commerciale, ils ont vu leurs investissements perdre toute leur valeur le mois suivant. Ils ont dû attendre une quinzaine d'années avant de reprendre la mer.
Plus encore, il y a eu le temps et l'énergie consacrés, pendant toutes ces années, à se battre en cour contre le géant Exxon. Ce dernier avait promis d'épuiser tous les recours juridiques possibles et imaginables, ce qu'il fit avec beaucoup de succès.
En juin dernier, la Cour suprême des États-Unis a en effet revu à la baisse les dommages punitifs imposés à la pétrolière. Fixés à 5 milliards de dollars en 1994, ils sont passés à 4 milliards, puis à 2,5 milliards pour atteindre finalement, l'an dernier, 507 millions US…
«Avant le déversement, Cordova était une municipalité très dynamique, avec un capital social immense, explique le sociologue Duane Gill. Aujourd'hui, c'est une municipalité usée. Prisonnière de l'interminable saga du déversement et des poursuites judiciaires.»

DES LEÇONS À TIRER

Mais à toute chose malheur est bon, dit-on. Tout cela a-t-il été bénéfique sur certains points?
Du côté législatif, oui, on peut dire que le naufrage de l'Exxon Valdez a eu des effets positifs. Les périodes de repos pour les membres d'équipage des cargos, par exemple, sont beaucoup mieux encadrées. Les navires, qui doivent aujourd'hui être dotés d'une double coque, sont plus résistants. Les scientifiques ont approfondi considérablement leurs connaissances sur les impacts des déversements.
Et l'industrie, est-elle mieux préparée à l'éventuel naufrage d'un pétrolier ? On croirait que oui, mais une enquête du World Wildlife Fund (WWF) dévoilée il y a quelques jours clame le contraire.
Intitulé «Les leçons non apprises», ce rapport énumère tout ce qui a été modifié et tout ce qui est demeuré inchangé en termes de préparation à une éventuelle marée noire.
On applaudit ainsi l'adoption de l'Oil Pollution Act et le resserrement des normes de nettoyage. Mais on se désole surtout, en constatant que les cinq plus récents déversements pétroliers, survenus en 2006 et en 2007, ont été dévastateurs. «Si un tel déversement devait se reproduire, conclut-on, il serait tout aussi dévastateur aujourd'hui.»


GEORGE H.W. BUSH et le ZAPATTA PETROLEUM

George Bush père est incontestablement l'un des hommes clés du Nouvel ordre mondial, avec Henry Kissinger et David Rockefeller.
Directement ou indirectement, il a trempé dans les affaires les plus sombres de ces 50 dernières années.
Après avoir été pilote pendant la 2è guerre mondiale, il commence dès le début des années 50 à travailler officieusement pour la CIA.

En 1953, en association avec un ex agent de la CIA, Thomas J. Devine, il crée, une compagnie pétrolière, la Zapatta Petroleum, qui servira ensuite comme couverture à la CIA pour plusieurs opérations, dont l'invasion de la Baie des Cochons à Cuba.
Un peu plus tard, Bush et Devine sont rejoints par Robert Gow, membre deS « Skulls & Bones » et ancien étudiant de Yale (tout comme Bush).
Grâce à la Zapatta, Bush commence aussi à développer des liens personnels avec les dirigeants de l'Arabie Saoudite, dont la famille Ben Laden...

En 1963, plusieurs éléments laissent penser que George Bush est sérieusement impliqué dans l'assassinat de JFK.
D'après le livre de la journaliste Caroline Lebeau, il pourrait en avoir été l'organisateur à Dallas, pour le compte de la CIA.

Sous la présidence de Nixon, c'est encore la Zapatta Petroleum qui a financé les "cambrioleurs" qui avaient installé des micros dans l'immeuble du Watergate.

En 1973, la Zapatta Petroleum a joué un rôle clé pour déclencher la "crise du pétrole", qui résultait d'un accord secret entre les compagnies pétrolières et les pays producteurs de pétrole du Proche Orient. Cette "crise" allait ensuite permettre la "contre-révolution libérale" et la grande restructuration de l'économie qui allait suivre, avec l'instauration d'un chômage massif permanent pour mettre les salariés sous pression et inverser le rapport de force entre salariés et entreprises.

Sous la présidence de Reagan, George Bush devient vice-président, après avoir été pendant 2 ans directeur de la CIA. Pendant la guerre Irak-Iran, c'est lui qui organise alors ce qu'on a appelé l'Iran Gate, qui consistait à fournir secrètement des armes à l'Iran (auquel un embargo US interdisait de vendre des armes), pendant qu'officiellement, les Etats-Unis soutenaient l'Irak. Encore une fois, on retrouve la Zapatta Petroleum qui continue de servir de couverture.

Dans le même temps, la CIA finance et entraine les talibans en Afghanistan, avec l'étroite participation d'Oussama Ben Laden, dont l'un des demi-frères, Shafiq Ben Laden, était par ailleurs entré au conseil d'administration du Groupe Carlyle, où siégeaient également Bush et Franck Carlucci (ex directeur de la CIA).

En 1988, George Bush devient à son tour président. 3 ans plus tard, il proclame le "nouvel ordre mondial" dans une déclaration devenue célèbre, et lance la "guerre du golfe" après avoir induit Saddam Hussein en erreur pour le pousser à envahir le Koweit.

Après quoi, l'Irak est placé sous un embargo qui va l'affaiblir et en faire une proie future facile.

C'est aussi sous la présidence de Bush père que Mikhaïl Gorbatchev a été éjecté suite aux manœuvres de Boris Eltsine, qui était probablement un pion des États-Unis pour empêcher Gorbatchev de promouvoir sa "3è voie" (alternative entre capitalisme et communisme), pour faire éclater l'URSS et en détacher notamment les républiques du sud avec leurs gisements de pétrole, et enfin, pour brader l'économie russe aux investisseurs occidentaux.

En 2001, Bush-fils devient président grâce à une élection truquée, et avec une administration composée des anciens ministres de Bush père.

9 mois plus tard, les attentats du 11 septembre sont organisés avec la collaboration de Ben Laden... qu'un agent de la CIA avait rencontré à Dubaï 2 mois avant.

Ajoutons que George Bush père est aussi un membre du CFR, de la Trilatérale, du Groupe de Bilderberg, des Skull and Bones déjà cités, et un membre supposé de Majestic 12.

Incroyable comme les fils se recoupent, non ?...

Source : Blog.syti.net
Voir l’article : http://blog.syti.net/index.php?article=270





















CARTEL de l’INDUSTRIE PÉTROLIÈRE
Nouvelle étude des chercheurs Léo-Paul Lauzon, Martine Lauzon et Marc Hasbani sur l'industrie pétrolière mondiale
Le titulaire de la Chaire d'études socio-économiques de l'ESG UQAM, Léo-Paul Lauzon, et les chercheurs Martine Lauzon et Marc Hasbani viennent de publier l'étude L'industrie pétrolière mondiale : concurrence ou cartel? Analyse socio-économique des six plus grandes pétrolières mondiales (1999-2007).
S'échelonnant sur une période de neuf ans, de 1999 à 2007, cette étude porte sur les six plus importantes pétrolières intégrées au monde, classées au palmarès 2007 des 500 plus grandes entreprises de la revue américaine Fortune en fonction de leurs revenus ou de leurs profits nets. Il s'agit, en ordre décroissant d'importance des revenus, de Exxon Mobil, Royal Dutch Shell, BP, Chevron Texaco, Total et Conoco Phillips. Ajoutons que ces six pétrolières figurent au classement des dix plus grandes compagnies mondiales toutes catégories confondues. La collecte des données a été réalisée à partir des rapports annuels des six pétrolières énumérées précédemment. Il s'agit principalement de données financières.

L’étude démontre qu'en plus d'être le seul pays producteur et exportateur de pétrole à avoir privatisé son pétrole et son gaz naturel, le Canada a cédé ces deux ressources à des intérêts étrangers, dont Exxon Mobil et Royal Dutch Shell, par le biais de leurs filiales Impériale Esso et Shell Canada. Selon les chercheurs, le gouvernement canadien se prive volontairement d'importantes recettes, alors que les pétrolières ont connu une explosion de leurs profits nets de 418 % au cours des huit dernières années.
De plus, les revenus des pétrolières observées sont plus importants que ceux des gouvernements canadien et québécois. À titre d'exemple, les revenus d'Exxon Mobil (435 milliards CDN $) sont deux fois plus élevés que ceux du Canada (232,3 milliards CDN $) et sept fois plus que ceux du Québec (60,7 milliards CDN $).
Par ailleurs, les principales pétrolières, qui ne se soumettent à aucune concurrence entre elles, offrent un rendement extraordinaire à leurs actionnaires. En effet, de 1999 à 2007, elles leur ont versé 483 milliards US $, tant sous forme de dividendes (254 milliards US $) que de rachats d'actions (229 milliards US $).
Ces montants représentent 65 % de leurs bénéfices records de 740 milliards US $ réalisés durant cette période. Selon les chercheurs, les pétrolières préfèrent verser des sommes faramineuses à leurs actionnaires plutôt que de réinvestir dans la croissance de l'entreprise.
Pour remédier à cette situation, qualifiée d'oligopolistique, les chercheurs affirment que les gouvernements du Canada et du Québec ont le devoir d'intervenir dans l'industrie pétrolière comme cela a été fait ailleurs, notamment en Bolivie, au Venezuela et en Norvège. Ils réitèrent que ce secteur est vital pour les intérêts stratégiques du pays, de même que pour sa sécurité nationale, son économie et sa souveraineté. Selon eux, le contrôle étranger de toute économie est aussi dommageable qu'une dette publique.





















OIL, SMOKE & MIRRORS

Oil, smoke & mirrors » (Du pétrole et des écrans de fumées) est un document vidéo qui donne une sérieuse analyse de la perception de notre monde présent et à venir, à la lumière des évènements imminents, non signalés et volontairement oubliés, des contraintes énergétiques mondiales.

Au travers d’une série d’interviews extraordinairement informées et éloquentes, ce film montre que les évènements du 11 septembre et les poursuites de la soi-disant "guerre au terrorisme", peuvent être mieux compris dans le contexte plus large de l’imminence d’une crise pétrolière.

"Oil smoke & mirrors" dépeint la culture de notre politique mondiale qui tragiquement, et pour quelque raison que ce soit, se dissocie complètement de ses valeurs fondatrices.
Si les opinions présentées dans ce film peuvent d’emblée paraître peu rassurantes, il est une certitude que les défis évoqués ne peuvent être relevés et surpassés, seulement, et seulement si nous trouvons le courage de leur faire face. »

Les intervenants : Richard Heinberg : Auteur de "The Oil Depletion Protocol"
Julian Darley : Fondateur de l’institut "Post Carbon"
Michael Meacher : Parlementaire, et ancien ministre britannique de l’environnement
Colin Campbel : Géologue et membre de l’“Association for the Study of Peak Oil and Gas”
Chris Sanders : Économiste politique, membre de « Sanders Research Associates »
Paul Roberts : Journaliste, Auteur de "The End of Oil"
Nafeez Mossaddeq Ahmed : Analyste politique, auteur de "La guerre contre la vérité"
Andreas Von Bülow : Ancien ministre allemand des sciences et technologies
Philip J. Berg : Procureur, membre des « Scholars for 9/11 Truth »
Christopher Bollyn : Journaliste de chez « American Free Press »
David Shayler : Ancien membre du MI5, Officier du contre terrorisme
Webster Tarpley : Historien, auteur de "La terreur fabriquée, Made in USA"


« OIL, SMOKE & MIRRORS »:




DÉVASTATION DE L’ALBERTA
Les sable de l’Alberta sont sans doute une véritable petite mine d’or
Mais l’or noir ne s’exploite pas sans qu’on se retrouve avec les mains sales
Morale : Il y a un prix à payer pour faire de l’argent


EXPLOITATION DES SABLES BITUMINEUX




LA FIN DU PÉTROLE
Maintenant, pour finir en beauté… Voici un documentaire-fiction vraiment bouleversant!
Il s’agit d’un condensé parfait des thèses développées sur oléocène (www.oleocene.org)
Un film d’un réalisme qui fait froid dans le dos !
(À noter les commentaires de Jacques Attali à l’opposés de son discours habituel, prônant la libération de la croissance . À mon avis ce type là est carrément atteint d’une forme gravissime de schizophrénie).
Certains considèrerons sans doute ce document-fiction un peu trop optimiste, en voulant, finalement mettre l’accent sur la possibilité d’une continuation du système actuel grâce aux énergies renouvelables… (Il y en a qui rêvent !)

Voici donc ce document : « LA FIN DU PÉTROLE »
(en trois parties)

Partie 1 :


Partie 2 :


Partie 3 :

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